Immerger des récifs artificiels peut revitaliser l’écosystème marin. Une équipe de chercheurs à Lorient développe un matériau évolutif et biodégradable.
La vie est parfois rude sous l’eau des zones côtières. Pour remédier à la diminution des ressources biotiques et dynamiser durablement la faune et la flore, une solution existe :immerger des récifs artificiels. Mais ils sont souvent composés de blocs de béton, de coques de navires ou de pneus usagés.
Doctorant à l’IRDL et au LBCM depuis octobre dernier, Thomas Fruleux confectionne un matériau à changement de forme, bioinspiré et biodégradable.
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Contacts : Antoine Le Duigou (IRDL), Pierre Sauleau (LBCM), Mickael Castro (IRDL), Thomas Fruleux (PHD, IRDL)